Notre mode de vie moderne conduit inévitablement à l’accumulation dans le côlon de déchets putrides stagnants, que le corps n’a pas su éliminer.
Faisons ensemble un résumé des conditions dans lesquelles nous vivons, pour la plupart d’entre nous :
- Nous consommons en permanence les « produits alimentaires » les plus improbables, au lieu de nous nourrir, simplement… d’aliments !
- Nous sommes depuis longtemps obsédés par la consommation de viande –les protéines ! -, totalement infondée et particulièrement néfaste
- Nous sommes stressés, entretenons des rancœurs, des animosités, des émotions négatives
- Nous absorbons de grandes quantités de substances chimiques : médicaments, drogues légales ou non, additifs alimentaires, pollution de l’air et des sols, etc
- Nous ne faisons pas assez d’exercice
- Nous avons tout un tas d’habitudes de vie plus ou moins saines (euphémisme) – tabac, alcool, sucreries, sodas, coupe-faim divers …
Rayez les mentions inutiles (s’il en est!) et voyez où vous en êtes personnellement… Avec un tel constat, comment espérer être en bonne santé ?
Le plus souvent, ce que nous appelons commodément « produits alimentaires », ne sont tout simplement pas… des aliments !
Tout d’abord parce que la plupart des choses que nous mangeons sont indigestes ou associées à d’autres aliments incompatibles qui les rendent telles.
Et ensuite parce que toutes les habitudes de vie précédemment citées rendent le côlon paresseux, et perturbent le travail des bactéries amies qui sont indispensables à son bon fonctionnement.
L’idée que nos intestins feront toujours systématiquement leur travail, tant bien que mal, sans attention particulière de notre part, s’est généralisée de façon très pratique, parallèlement à une autre croyance, tout aussi erronée, selon laquelle tout ce que l’on peut acheter au supermarché ou préparer dans sa cuisine, sera reçu avec gratitude par notre organisme et cheminera inéluctablement de la table aux WC.
En vérité, rien n’est moins sûr. Il faudra bien finir par comprendre que le plus souvent, ce que l’on appelle commodément « produits alimentaires », ne sont tout simplement pas… des aliments ! Je me répète mais il est fondamental de prendre conscience de cette vérité et de ses conséquences pour notre santé.
Des déchets non digérés s’accumulent donc au fil des années sur les parois du côlon, occasionnant des fermentations et des putréfactions. Par la réabsorption par le circuit sanguin et la lymphe des toxines produites, le côlon devient une source d’auto-intoxication de tout l’organisme.
A la longue, et en fonction d’autres facteurs individuels comme l’hérédité, cette toxémie intestinale amorce un processus inexorable de perte de la vitalité et de l’immunité naturelle, qui conduit tôt ou tard à la maladie et à la dégénérescence.
Ces déchets finissent aussi par déformer (diverticulose) et irriter (colite et enflammer) les parois du côlon, rendant impossible un transit normal des matières fécales, et entravant davantage le travail de la flore intestinale.
Il est impossible, si l’on prend deux ou trois repas par jour (et même souvent davantage!), et étant donné les conditions dans lesquelles la plupart d’entre nous vivons, de ne pas être victime d’une accumulation dans le côlon de résidus alimentaires non éliminés.
Et dans une telle situation, le meilleur régime ne pourra rien pour vous. D’ailleurs, qu’est-ce qu’un « bon » régime ? Personne ne peut le dire; les facteurs sont trop nombreux; nous sommes tous différents… On ne peut que s’en rapprocher, et par sécurité…, nettoyer régulièrement nos intestins!
En l’absence de mesures draconiennes de nettoyage, ces résidus finissent par former des couches épaisses qui tapissent les parois du côlon (imaginez que les éboueurs ne retirent pendant des années qu’une partie du volume de vos poubelles’). Après quelques dizaines d’années, ces couches peuvent atteindre une épaisseur de 12 mm et avoir la consistance du pneu !
Des autopsies ont même révélé des côlons dont le diamètre atteignait plus de 20 cm alors que l’espace libre pour laisser passer les matières fécales ne dépassait pas la taille d’un crayon !
Le seul endroit où l’on peut voir un côlon sain, c’est dans un livre d’anatomie. – V.E. Irons
Un individu moyen peut avoir en permanence de 5 à 10 kilos de déchets secs et durcis dans son côlon. Beaucoup plus dans les cas d’obésité ou d’allergies.
Et comme une photo vaut mille mots, en voici quelques-unes.
ATTENTION ! Ces photos peuvent gêner des personnes sensibles. Avant de cliquer dessus pour les agrandir, soyez sûr(e) d’être prêt(e) à contempler le genre d’horreurs qui encombrent le gros intestin de gens qui se considèrent souvent en « parfaite santé » !
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Des déchets toxiques qui nous empoisonnent lentement, mais sûrement.
Qui aurait pensé que de telles horreurs pouvaient s’accumuler dans notre organisme tout au long de notre vie? Et comment penser qu’elles n’ont pas une influence profondément néfaste sur notre santé ?
Observez comme ces guirlandes (malheureusement peu décoratives…) – dont certaines mesurent plus d’un mètre – ont la forme des replis et circonvolutions du côlon, montrant qu’elles en tapissaient bel et bien les parois !
Vraiment étonnant. Aujourd’hui, un patient sur trois a un problème lié à ses intestins. La constipation est un véritable fléau dans tous les pays développés.
Alors que le temps de transit normal de la nourriture à travers notre corps est inférieur à 24 heures, il est aujourd’hui en moyenne de 60 heures pour les hommes et de 70 heures pour les femmes. Et si aller à la selle une fois par jour ne signifie rien en soi, beaucoup de gens sont loin d’y aller aussi souvent !
Selon Bernard Jensen, tous les malades ont des problèmes intestinaux. Le docteur John H. Kellogg a déclaré : « Au cours des 22.000 opérations que j’ai réalisées personnellement, je n’ai jamais trouvé un seul côlon normal ».
Les pathologies du côlon connaissent aujourd’hui une véritable explosion, en fréquence, intensité et sévérité. A la fin du 19ème siècle, la diverticulite était inconnue (il s’agit de l’inflammation des poches qui se forment sur les parois du côlon, du fait des déchets toxiques qui s’y accumulent). Aujourd’hui, elle fait de véritables ravages dans nos sociétés modernes. Il ne faut pas en être surpris.
Selon la Société Royale de Médecine de Grande-Bretagne, 90% de toutes les maladies chroniques sont dues à un côlon dysfonctionnel.
Le corps humain est une machine extrêmement résistante, ce qui nous fait croire que nous pouvons commettre impunément erreurs alimentaires et excès divers, ad infinitum. Or, cette machine est aussi douée de la mémoire la plus formidable.
Le corps n’oublie jamais rien ! Il encaisse, mais il n’oublie pas. Et tôt ou tard, il passe facture…
Notre civilisation est en train de payer la note de tant d’années de vie contre-nature.
Le cancer du côlon est en France la première cause de mortalité par cancer chez les non-fumeurs. 36 000 nouveaux cas par an en 2006, 16 000 décès. En augmentation constante.
Laxatifs et stimulants du côlon se vendent par milliers de tonnes, ce qui est peut-être bon pour les laboratoires et les officines de pharmacie, mais témoigne avant tout de la façon désastreuse dont nous traitons nos intestins et de notre incapacité à les régénérer sûrement et durablement. La constipation est si commune qu’elle est devenue pour des millions de gens un véritable mode de vie.
Je connais une dame qui ne va tout simplement JAMAIS à la selle. Cela fait des années qu’elle a recours une fois par semaine à un lavement pour faire artificiellement le travail que dame Nature ne peut plus faire…
Les fameuses expériences du Dr Alexis Carrel
Alexis Carrel, prix Nobel de médecine en 1912 nous a apporté des informations fondamentales sur l’utilité du nettoyage intestinal. Rappelons que Carrel parvint à maintenir en vie un coeur de poulet in vitro, dans un liquide nutritif, pendant plusieurs décennies – 28 à 37 ans selon les sources. Or la durée de vie moyenne d’une poule est de 5 ans.
Carrel établit que la condition indispensable de la survie des cellules est l’élimination des déchets du métabolisme cellulaire, c’est-à-dire des déchets résultant du fonctionnement normal des cellules.
On attribue à Carrel la phrase : « Une cellule bien hydratée, bien nourrie, bien débarrassée de ses déchets se renouvelle perpétuellement », suggérant à long terme une possible immortalité des organismes. Ce thème sera souvent repris par Jean Rostand.
Carrel remarqua que si on laissait les cellules baigner dans leurs déjections plus de 3 jours, elles perdaient de la vigueur et mourraient.
Un côlon en mauvais état empoisonne tout l’organisme par un effet réflexe.
Sir Arbuthnot Lane, chirurgien du roi d’Angleterre –
Les cellules du corps humain sont soumises aux mêmes lois biologiques ; si elles sont nourries par un sang qui n’a pas été convenablement purifié, elles perdront progressivement de leur vitalité et la capacité immunologique du corps en sera d’autant réduite.
La maladie et la dégénérescence s’installent de façon insidieuse dans les cellules de tissus envahis par des bactéries toxiques issues de la fermentation de déchets que le corps n’a pas su éliminer.
Je l’ai dit, les statistiques sont éloquentes : le cancer du côlon et tous les problèmes associés à cet organe – le syndrome du côlon irritable, colite, maladie de Crohn, diverticulite, candidose digestive, figurent en tout premier plan parmi les maladies des habitants du monde « civilisé ».
Mais ceci n’est que la pointe visible de l’iceberg : selon la Société Royale de Médecine de Grande-Bretagne, 90 % de toutes les maladies chroniques sont dues à un côlon en mauvais état.
Le Département de la santé des Etats-Unis, le célèbre United States Health Service, a également reconnu que plus de 90% des américains souffrent d’un côlon encombré.
Face aux symptômes les plus divers, souvent extrêmement gênants et douloureux, combien de patients se sont entendus dire en consultation « c’est nerveux », ou encore « c’est dans votre tête »… !
Aujourd’hui, on commence à prendre tout cela beaucoup plus au sérieux.
On sait qu’un côlon en mauvais état peut être la cause de tous ces maux. L’hygiène du côlon doit retrouver une des toutes premières places dans nos habitudes de vie et nos soins de santé, préventifs et curatifs.
Vous le comprenez maintenant : un côlon dysfonctionnel ne fait pas seulement courir le risque du cancer du côlon – il empoisonne aussi tout l’organisme !
C’est ce que découvrit Sir Arbuthnot Lane, chirurgien du roi d’Angleterre.
Il avait acquis une renommée internationale pour sa capacité à enlever des morceaux du côlon et recoudre ce qui restait.
« La mort commence dans le côlon » – Pr. Elie Metchnikov, Prix Nobel de médecine, 1908
Mais au cours de sa brillante carrière, il remarqua un curieux phénomène : certains patients guérissaient de problèmes de santé qui à priori n’avaient rien à voir avec l’opération du côlon qu’ils venaient de subir.
Par exemple, un enfant qui souffrait d’arthrite depuis des années était dans un fauteuil roulant à l’époque de son opération. Six mois plus tard, il était complètement guéri.
Un autre cas fut celui d’une femme avec un goitre. Après voir subi l’ablation d’une partie du côlon, elle guérit de son goitre en quelques mois.
D’autres expériences du même genre impressionnèrent tellement le Dr Lane qu’il fut conduit à établir une corrélation claire entre la toxémie du côlon et le fonctionnement des divers organes du corps.
Pendant les 25 dernières années de sa vie, il se consacra à promouvoir l’hygiène du côlon comme base de la santé.
Une infinité de symptômes sont attribuables à un côlon toxique et il ne servirait à rien d’essayer d’en dresser une liste. La simple observation des résultats impressionnants obtenus par des cures d’irrigation du côlon suffit à se convaincre du nombre insoupçonné de pathologies qui ont leur origine dans la toxémie du côlon.
La maladie n’est pas une fatalité qui s’abat au hasard sur les malchanceux. Elle est l’expression ultime du long processus d’affaiblissement d’un organisme intoxiqué, à la suite de l’accumulation dans le gros intestin de déchets toxiques non éliminés. Tout processus de guérison doit donc impérativement commencer par un nettoyage intestinal complet. De fait, en agissant à la racine du mal, il n’est pas d’état pathologique que le nettoyage du côlon ne puisse améliorer, et souvent guérir complètement.
Alexis Carrel nous l’a montré, nous devons nourrir nos cellules avec un sang pur, oxygéné, et cela n’est possible qu’avec une parfaite hygiène intestinale, puisque le sang est le résultat de l’activité de l’appareil digestif.
A mesure que les pays en développement adopteront des modes de vie comparables à ceux de l’Europe […], ils devront faire face à une incidence du cancer beaucoup plus élevée, notamment des cancers du côlon, […]
– Rapport sur le cancer dans le monde, OMS, 3 avril 2003, Genève –
Grâce à l’outil que je vous propose, vous allez pouvoir pratiquer l’irrigation du côlon chez vous, sans l’aide d’un thérapeute, tout au long de votre vie et pour un investissement de départ modique.
Sachez qu’il n’y a rien de plus simple et de plus naturel que d’introduire de l’eau dans un côlon, et ce, sans risque d’effet secondaire (si ce n’est celui de beaucoup améliorer votre niveau de santé!).
L’irrigation du côlon est une pratique agréable, facile à pratiquer chez soi, et extrêmement efficace.
Ses premiers effets se font ressentir immédiatement, grâce à l’élimination (littéralement, regardez les photos… !) des causes du mal : une peau plus claire, davantage d’énergie, moins de maux de tête, une amélioration des problèmes circulatoires, régularisation du poids, sensation de bien-être et de légèreté, stimulation des facultés intellectuelles, disparition des états inflammatoires, effet de rajeunissement, et un long etc.
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