Il souhaite partager avec le plus grand nombre les informations qui lui ont permis de transformer sa vie.
Il œuvre pour l’éducation à la santé, pour l’épanouissement de la personne comprise dans sa globalité physique, mentale, émotionnelle et spirituelle, et pour promouvoir la gestion autonome de la santé.
Le cœur de son message peut être résumé dans les propositions suivantes :
- La santé, comme l’informatique ou les langues étrangères, ça s’apprend ! – et cet apprentissage ne peut résulter que d’une démarche personnelle, d’autant plus volontariste que le système de santé prévalent aujourd’hui tend plutôt à maintenir l’individu dans la dépendance, la désinformation et l’ignorance.
- La médecine actuelle qui a atteint un très haut niveau de sophistication et de compétence dans le domaine de la réparation du corps physique, n’est pas la plus indiquée pour donner cet enseignement. Les médecins connaissent tout des maladies, mais n’ont jamais étudié les lois de la santé et de la vie ! Autrement dit, ce sont des spécialistes de la maladie, pas de la santé…
- Il existe des moyens simples, naturels, peu coûteux ou gratuits et souvent très anciens, pour conserver ou recouvrer la santé. Si certains se développent rapidement, comme la phytothérapie, d’autres profondément efficaces, comme le jeûne ou le nettoyage intestinal (irrigation du côlon), sont largement méconnus dans notre pays alors qu’ils connaissent ailleurs la faveur du public et d’un bon nombre de médecins qui ont la liberté de les utiliser, ce qui n’est pas le cas chez nous.
Afin de mettre un coup de pied dans la fourmilière de notre immobilisme et de notre apathie, Bernard Clavière a organisé à deux reprises la Croisade pour la santé, une formidable aventure humaine mais aussi une action revendicative et éducative forte : 50 participants ont marché 14 jours, sans manger, de la Gironde à Paris, du 15 au 29 juillet 2008.
La 2ème édition de la Croisade s’est deroulée de Bordeaux à Toulouse du 7 au 19 juillet 2009.
Il est aussi l’auteur du livre plusieurs fois réédité: « Et si on s’arrêtait un peu de manger… de temps en temps« .